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Une Infirmière en Soins Palliatifs Révèle un Geste que les Personnes Font lorsqu'elles sont Proches de la Mort.

Par Rudy, il y a 22 heures

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Une Infirmière en Soins Palliatifs Révèle un Geste que les Personnes Font lorsqu'elles sont Proches de la Mort.

Dans les unités de soins palliatifs, certains gestes interpellent.

Des soignants remarquent très souvent un même mouvement chez les patients proches de la mort.

Ce geste ? Lever lentement les bras vers le ciel, comme pour attraper quelque chose d’invisible.

C’est fluide, lent, presque doux. Et surtout, ce mouvement est volontaire.

Il survient peu avant le dernier souffle, souvent dans un moment de calme absolu.

Voici ce que signifie le geste de certains mourants juste avant de partir :

Une personne qui va mourir proche de la mort

Une scène bouleversante et pleine de mystère

Une infirmière tient tendrement les mains d'une personne âgée en fauteuil roulant.

Beaucoup de soignants sont bouleversés quand il voit cette scène :

Des patients lèvent les bras, fixent un point dans la pièce, murmurent des noms ou sourient doucement.

Ils semblent voir quelque chose, ou quelqu’un.

Parfois, ils prononcent des phrases simples comme :

« Je rentre. »
« Il est là. »
« Je vois maman. »

Ces mots, accompagnés du mouvement, créent un moment fort pour les proches.

C'est sur qu'il laisse une trace durable dans les mémoires.

Mais le plus intrigant, c'est que ces soignants expliquent que plusieurs personnes en fin de vie faire ce même geste !

Une explication neurologique possible

Une soignante accompagne une dame âgée en marchant dans un jardin.

Sur le plan médical, plusieurs hypothèses existent.

La première : un manque d’oxygène au cerveau. À l’approche de la mort, la circulation sanguine ralentit. Le cerveau peut réagir de manière inhabituelle.
Autre possibilité : des hallucinations causées par des substances chimiques libérées en fin de vie.
Enfin, certains évoquent une activité réflexe liée à l’hypothalamus, la zone qui gère les instincts de survie et les réactions motrices.

Mais aucun de ces scénarios n’explique pleinement la douceur du geste. Ni sa fréquence.

Une dimension psychologique

Une personne réconforte une autre en lui tenant doucement les mains.

Pour certains psychologues spécialisés dans l’accompagnement de fin de vie, ce mouvement pourrait être symbolique.

Lever les bras, c’est aussi s’ouvrir. Se rendre. Lâcher prise.

Le geste pourrait alors signifier une acceptation. Une façon, peut-être inconsciente, de dire : « Je suis prêt. »

Cette interprétation rejoint d'ailleurs les observations faites depuis des décennies dans les maisons de retraite ou les unités de soins.

Un possible élan spirituel

Une main chaleureuse enveloppe celle d'une personne affaiblie.

De nombreux témoignages rapportent que des mourants lèvent les bras comme pour saisir une main invisible.

Des soignants parlent d’un regard qui change. D’un visage qui s’éclaire. D’un calme inattendu.

Ces signes sont difficiles à expliquer.

Certains y voient un lien avec une présence spirituelle. D’autres y perçoivent un appel vers une autre dimension.

Plusieurs récits mentionnent aussi une lumière, une silhouette, ou la sensation d’une paix immense.

Ces observations rappellent les « expériences de mort imminente », déjà étudiées par des chercheurs comme le Dr Raymond Moody.

L’importance de ces gestes pour les proches

Une aide-soignante offre une boisson à une résidente dans un établissement.

Pour les familles, assister à ce geste est souvent un soulagement.

Cela les rassure. Ils ressentent que leur proche ne souffre pas. Qu’il part apaisé.

Un mouvement lent, gracieux, presque tendre. Un dernier message, sans mot.

Il devient un souvenir fort. Un point de repère dans le deuil.

Des observations similaires partout dans le monde

Ce phénomène n’est pas isolé.

Aux États-Unis, au Canada, en Europe, des soignants en soins palliatifs décrivent la même chose.

Katie Duncan, infirmière spécialisée dans l’accompagnement de fin de vie aux États-Unis, en parle ouvertement.

Pour elle, c’est l’un des gestes les plus mystérieux, mais aussi les plus beaux.

« C’est comme s’ils tentaient de saisir une main dans l’air », explique-t-elle.

En Australie, Bronnie Ware, infirmière en soins palliatifs et auteure du livre Les 5 regrets des personnes en fin de vie, a aussi assisté à ces scènes troublantes.

Elle y voit un élan d’amour. Une dernière connexion.