Ce que signifie le fait de se curer le nez en public (d’après les psychologues)

Par , il y a 19 heures

Ce que signifie le fait de se curer le nez en public (d’après les psychologues)

L’autre jour, dans le métro, la dame assise face à moi s’est mis à se curer le nez.

En pleine heure de pointe, sans aucune gêne, comme si de rien n’était.

J’ai détourné le regard, un peu mal à l’aise… mais incapable de ne pas y repenser.

Pourquoi ce geste dérange autant ?

Et surtout, pourquoi certains le font-ils sans se poser de questions ?

En creusant un peu, j’ai découvert que ce n’était pas juste une mauvaise habitude.

Ce comportement porte même un nom médical : rhinotillexomanie.

Et derrière ce mot étrange, se cachent parfois du stress, un besoin de réconfort, ou simplement un manque de repères sociaux.

👉 Voici ce que signifie le fait de se curer le nez en public (d’après les psychologues). Regardez :

un homme en costume se cure le nez

Un geste banal… mais largement condamné socialement

Un homme barbu se cure le nez avec une expression de gêne ou de tension.

Dans une salle d’attente la semaine dernière, j’ai vu un homme se curer le nez, sans mouchoir, à main nue.

Calmement, sans se cacher. Comme s’il était seul chez lui.

Autour, les gens ont baissé les yeux. Moi la première. Malaise immédiat.

Et pourtant, ce geste n’est pas vu comme déplacé partout dans le monde.

👉 En Inde, en Chine ou même en Thaïlande, se curer le nez n’a rien de honteux.

En effet, ce geste est souvent vu comme une réponse naturelle à une gêne physique.

C’est un réflexe comme un autre, une manière directe de se débarrasser d’un inconfort.

Pas de tabou, pas de gêne : c’est vu comme fonctionnel, rien de plus !

Mais en France, ce genre de geste est strictement réservé à l’espace privé.

Comme se gratter les fesses ou inspecter ses ongles sales, c’est un geste qu’on relègue au privé.

Le faire en public, c’est transgresser un code social silencieux : celui qui nous dit ce qu’on peut montrer… ou pas.

En réalité, ce n’est pas le geste en soi qui choque.

C’est le fait de l’imposer aux autres, sans filtre.

Et ça, dans notre culture, c’est souvent vécu comme un manque de respect.

Quand le corps exprime ce que l’esprit ne dit pas

Un homme en chemise blanche se tient la tête entre les mains, stressé.

À première vue, on se dit que c’est juste une mauvaise habitude.

Un simple réflexe, comme se ronger les ongles ou lisser ses cheveux en boucle.

Mais selon de nombreux psychologues, ce type de comportement peut aussi être une réponse automatique à une tension intérieure.

Quand le stress monte ou que l’anxiété s’installe, certaines personnes adoptent des gestes répétitifs sans même s’en rendre compte.

Le but ? S’auto-apaiser. Soulager une émotion difficile, sans l’exprimer verbalement.

👉 Se curer le nez en fait partie.

Autrement dit, ce n’est pas un geste réfléchi. C’est mécanique, presque instinctif.

Une manière inconsciente de libérer un trop-plein de tension ou de nervosité.

🩺 Sonia Ziani, psychologue spécialisée en troubles anxieux, explique :

"Chez certaines personnes, ces gestes deviennent des soupapes. Ils n’ont pas vocation à attirer l’attention, mais simplement à réguler une émotion."

Et comme ils sont faits automatiquement, ces gestes échappent aux codes sociaux… jusqu’à ce que le regard des autres vienne rappeler qu’on n’est pas seul !

Un réflexe d’enfance qui persiste

Une petite fille se cure le nez du doigt avec un air surpris.

Oui, ça peut sembler étonnant, mais c’est un vrai phénomène.

Beaucoup d’enfants se curent le nez… et certains n’arrêtent jamais vraiment.

Et justement :

Quand ce comportement n’a pas été corrigé ou remis en question, il peut rester en pilote automatique à l’âge adulte.

Pas par provocation, mais simplement parce que la personne ne perçoit pas ce geste comme inadapté.

Et dans ce cas-là… difficile de s’autocensurer.

Un manque de repères sociaux

Une grille avec trois smileys indique un niveau de satisfaction à cocher.

Pour certains, ce geste traduit un décalage avec les codes sociaux attendus.

Ils n’ont pas forcément appris ce qui se fait — ou ne se fait pas — dans l’espace public.

Ce n’est ni de la provocation ni un oubli : c’est une méconnaissance des règles implicites.

Un peu comme parler très fort dans un café calme, ou garder son manteau en intérieur sans y penser.

Quand ces repères manquent, certains comportements passent à côté des attentes collectives… sans même s’en rendre compte.

Et si c’était (un peu) pour attirer l’attention ?

Plusieurs mains lèvent le pouce en signe d’approbation collective.

C’est une hypothèse évoquée par certains psychologues :

Dans quelques cas, se curer le nez en public pourrait refléter un besoin inconscient de se faire remarquer, même de manière négative.

👉 Une façon détournée — et souvent non maîtrisée — de dire : "Regardez-moi."

Selon cette lecture, provoquer une réaction — même un froncement de sourcil — vaudrait mieux que l’indifférence totale.

Il ne s’agirait pas d’une provocation volontaire, mais plutôt d’un appel discret à l’attention.

Un peu comme ces ados qui parlent fort ou rient bruyamment, non pas pour déranger, mais pour occuper une place dans l’espace social.

À votre tour...

Et vous, vous avez déjà assisté à quelqu’un qui se cure le nez en public ? 👉 Partagez vos réactions en commentaire. On a hâte de vous lire !

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